Sociologie du porc

La section "Sociologie & Séduction" de E&R s'est emparée du sujet #balancetonporc pour nous produire une synthèse de grande qualité
 
Après "Balance Ton Porc" pour les femmes, "Balance Ta Pute" pour les hommes ? 

 
Quelques arguments massues à opposer aux plus fémino-gauchiasses de vos ami-e-s qui n'auraient pas le recul socio-anthropologique pour comprendre que la nature nous impose de leur peloter le cul dans le métro. 

On appréciera, comme souvent chez E&R, le renversement victime/prédateur : c'est l'homme qui serait la proie de femmes tigresses hypersexualisées.

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"Mais il est toujours possible de résister. Pour cela, il faut esquiver, ne jamais montrer ses fesses au prédateur. Cela suppose quelques torsions comportementales. Ce n’est pas agréable, on en convient, mais la vie est une jungle." 
 
"Il n’y peut rien, c’est le programme de la Vie, sans quoi nous ne serions pas ici pour en parler." 
 
"L’agression F-H correspond à l’hypersexualisation de l’accoutrement féminin." 
 
"Face à cette proposition sexuelle permanente qui prend la forme d’une agression pour ceux qui ne sont pas capables d’y faire face culturellement (...) c’est la tension sexuelle générée par la sexualisation de leur look qui provoque ces failles dans les barrages du désir masculin." 
 
"Heureusement, les codes sociaux sont là pour atténuer cette tension sexuelle que les femmes maintiennent élevée." 
 
"Une femme sexy ne tolérera pas – et on la comprend – un pelotage dans le métro par un SDF, mais elle acceptera de se faire draguer – ou elle draguera elle-même – un homme de rang social supérieur." 
 
"Il ne s’agit pas ici de déculpabiliser le patron qui saute sa secrétaire ou la racaille qui poursuit l’étudiante de bonne famille en mini-jupe dans la rue, mais d’expliquer les ressorts sociaux du désir émis et reçu." 
 
"Alors quoi, les femmes sexy devraient s’habiller en jogging informe et gris, ou mettre une burqa ? C’est une solution, mais on ne parierait pas que la femme occidentale libérée retourne en arrière, si on peut appeler ça une arriération." 
 
"peut-être que certaines femmes devraient mesurer l’impact de leur tenue sur les hommes, qui ne sont pas tous civilisés," 
 
"Cependant, les femmes ne sont pas sottes : elles mesurent constamment l’effet qu’elles provoquent chez les hommes et savent depuis la nuit des temps manipuler le désir qu’elles induisent. C’est le pouvoir numéro un des femmes, et certaines sont surpuissantes dans ce domaine." 

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