Le père-la-pudeur (helléno-chrétienne)
En 2008, Alain Soral déclarait dans une série de vidéo pour le site fluctuat.net :
Et de dénoncer ces "séfarades" qui savent si bien « pleurer face à la caméra pour tirer les larmes du goy et lui faire les poches. »
Comme le montrent les quelques citations ci-dessous, personne n'est mieux placé que lui pour donner des leçons de décence et d'"émotion subtile"...
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A une journaliste d'Arte :
« Je dis souvent qu'un journaliste est une pute, ou est au chômage. Vous n'êtes pas au chômage ? »
« J'ai rien à faire avec un connard qui a un cabriolet intérieur cuir. »
Sur Frédéric Beigbéder :
« Je l'ai attrapé et je lui ai mis deux baffes dans la gueule. Il a pété, je l'ai entendu faire prout. Il aurait pu faire CACA. »
Sur les animateurs de Canal+ :
« Anthropologiquement c'est des merdes, c'est des sous-hommes. Ils ont une grosse tête avec un tout petit corps, c'est des mutants. J'ai l'impression que si je souffle, ils s'envolent. »
« Aujourd'hui si il (Jésus) était présent sur terre, peut-être l'est-il, il serait assis ici à côté de moi. »
"Le passage en force
Puisque vous savez maintenant que pour l'amener au plaisir il fallait la forcer un peu, pourquoi changer de méthode à deux doigts du bonheur ? Inutile donc de s'attarder en préliminaires, vous avez déjà perdu assez de temps comme ça :
- plus vous entrerez sèchement, plus votre sentiment de la pénétrer sera fort ;
- quant à elle, son plaisir étant parent de la douleur, croyez qu'elle appréciera aussi ce surcroît de virilité.
Sociologie du dragueur, page 105.
A propos d'une interview de Vladimir Poutine par Jean-Pierre Elkabbach :
« [Voir] le petit sémite séfarade se soumettre comme une femme à quelqu'un qui représente encore la virilité aryenne, même si elle est slave : ça c'est la juste hiérarchie traditionnelle... C'est comme ça que se conçoit un monde qui fonctionne bien. Parce qu'il y en a un qui incarne l'autorité légitime et la virilité, et l'autre qui incarne la place qu'il aurait dû garder depuis toujours, c'est-à-dire une place d'intermédiaire et de courtisan... »
On passera sur le fait que pour les nazis, les slaves étaient des sous-hommes et, pudiquement, on terminera ce petit florilège sans plus de commentaires.